50 ans d’histoire en vidéo | Partie 2/2

Et si on revenait un demi-siècle en arrière… 
🎬 Nos 50 ans d’histoire en vidéo – Partie 2/2

Samedi 1er février 2020, c’est la date à laquelle les Transports Cordier fêtaient officiellement leurs 50 ans d’histoire. Un demi-siècle d’évolution pour une entreprise familiale qui trace sa route.

1970-2020 : 50 ans d’histoire

L’histoire commence le 1er février 1970. Raymond Cordier et sa femme, Monique Cordier, achètent leur premier camion d’occasion, et créent les Transports Cordier. Le siège social, les premiers bureaux, les premiers emplacements de stationnement… Tout est localisé à leur domicile, à Marcilly-sur-Tille (21).

La société prend son envol, tout comme Raymond Cordier, qui prend la route tous les jours, souvent plusieurs jours consécutifs, dans le but de fidéliser ses premiers clients. Pendant ce temps, Monique Cordier s’occupe de la partie administrative, de la comptabilité, de la facturation. Puis un deuxième camion apparaît, puis un troisième, puis un dixième… Ainsi que les premiers conducteurs, qui deviennent les premiers salariés de l’entreprise.
Dix années passent, les années 1980 débutent et les Transports Cordier se professionnalisent. Plus d’une quarantaine de camions et un positionnement sur le transport volumineux qui fait naître un nom : Hyper Volume. Petit à petit, les Transports Cordier poursuivent leur évolution, notamment dans le secteur de la logistique : « C’était une volonté d’offrir une prestation complète de transport et de stockage, qui se différenciait » explique Raymond Cordier. Entre temps, l’entreprise s’installe durablement à la sortie d’Is-sur-Tille, au siège actuel des Transports Cordier. Des bureaux sont construits, puis un premier bâtiment de stockage, un deuxième, un troisième, etc.

La société ne fait ensuite que se développer, dans les années 1990 et 2000, jusqu’à devenir un incontournable du transport volumineux, en France, mais aussi en Europe. Une flotte de 300 camions-remorques, et des implantations dans l’Est de la France (Lunéville) ainsi que dans le Nord et en Belgique témoignent alors du développement de l’entreprise.

A leurs débuts, Raymond et Monique Cordier utilisaient le sous-sol de leur maison comme lieu de travail, leur jardin comme parking pour les premiers camions.

 

Une croissance familiale

L’ADN des Transports Cordier, c’est avant tout la famille. Une entreprise familiale, à taille humaine. A leurs débuts, Raymond Cordier et Monique Cordier recevaient les conducteurs de passage chez eux, pour par exemple, leur offrir le déjeuner. Aujourd’hui, recevoir plus de 350 conducteurs aux 4 coins de la France serait compliqué. Mais l’esprit de proximité de la société reste toujours présent, avec une grande écoute des dirigeants auprès des salariés, des conducteurs aux administratifs, jusqu’aux mécaniciens, aux caristes…
Une entreprise familiale, aussi, par la succession qui s’est effectuée en 2007 à la tête de l’entreprise. Raymond Cordier laissait alors place à sa fille et à son gendre, Anne-Marie Colley et Ludovic Colley, qui sont aujourd’hui tous deux, à la tête de l’entreprise. Une transmission de flambeau, de valeurs, qui a alors assuré une continuité dans l’évolution de la société et de son identité. Et cela n’est que le début, avec l’intégration récente de Thomas Colley, la troisième génération familiale, au sein de la société.

Trois générations, une même passion : le transport.

 

Continuer sur cette route

Aujourd’hui, les Transports Cordier tracent leur route. 350 camions-remorques qui sillonnent les axes de France, d’Allemagne, du Bénélux, près de 400 salariés répartis aux 4 coins du pays, des implantations en Côte-d’Or (siège à Is-sur-Tille), en Saône-et-Loire, dans les Hauts-de-France, en Bretagne, depuis peu à Avignon et à Bonneuil-sur-Marne. L’entreprise a su évoluer avec son temps, se digitaliser, s’équiper de manière qualitative et cela fonctionne.
Les ambitions restent à la hausse et les projets sont nombreux. Le Chiffre d’Affaires de l’entreprise en témoigne, en croissance depuis maintenant plusieurs années, jusqu’à atteindre 50 millions d’euros en 2020.